Alors on se bouge: peintures, hangars pour atelier (merci à l’école Sainte-Cécile), terrasse pour répétitions et spectacles (merci Kevin pour le damage !)… Mais, après le réaménagement de la cour, nous n’avons toujours pas de reconnaissance de l’action sociale comme structure officielle d’accueil pour les enfants.
Et oui, il demeure des problèmes de sécurité à régler, des travaux à effectuer, des accords à passer avec le propriétaire, … La fréquence des séjours en France pour Sitala du Faso complexifie le suivi de tout cela.
Juillet 2014: rebondissement! On apprend que la cour est vendue et que le nouveau propriétaire ne souhaite plus d’activités dans ce lieu et préfère ne pas nous rencontrer… SITALA décide de mettre en pause ses activités au centre et arrête de payer ses loyers jusqu’à éclaircissement de la situation.
Pourquoi pas cet été ?
Il y a quelques jours Sitala du Faso anime une scène ouverte à la palmeraie « Jardin Kabore »pour nos artistes burkinabè.
Madou et son équipe de Sitala du Faso accompagnent les élèves de l’école de Demissenisso à l’aéroport de Bobo-Dioulasso.