Chaque intervention est préparée avec les équipes enseignantes ou d’animation. Nous choisirons ensemble les ateliers les plus adaptés et fixerons ensemble le nombre de participants possible pour chaque atelier. Nous intervenons avec tout le matériel nécessaire à la tenue des activités.

Les projets sont adaptés au nombre de participants, aux spécificités des publics et aux attentes des équipes encadrantes. Découvrez ci-dessous nos différentes propositions d’ateliers pédagogiques.

Accompagnés par deux percussionnistes, les participants apprennent à jouer ensemble sur les Doums-Doums et les Djembés.
Lors des ateliers, nous abordons les rythmes traditionnels Burkinabè joués pendant les fêtes de mariages ou de baptêmes et travaillons le “jouer ensemble” à travers des appels, des rythmes d’accompagnement et des breaks.
L’atelier demande une écoute attentive mais pas de prédisposition à la percussion.

Sur des rythmes traditionnels Burkinabè, les participants vont apprendre à ressentir/dissocier les différentes parties de leurs corps et préparer une petite chorégraphie accompagnés de musiciens et d’un danseur,
Grâce à des jeux, ils vont, tour à tour, apprendre à placer leurs corps dans l’espace et dans le temps, imiter la démarche et le cri d’animaux de la savane, libérer leurs différentes émotions (ex: peur, tristesse, joie).

les jeunes seront tous initiés à la technique du théâtre-image et théâtre-forum.

L’idée est qu’ils puissent dans un deuxième temps, mettre en scène des situations qui les concernent particulièrement autour de la
notion d’interculturalité ( les discriminations, la migration, les quiproquos interculturels etc.).

Le bogolan est une technique traditionnelle de teinture sur tissu utilisé au Burkina-Faso au Mali et en Guinée. Cet atelier propose de faire découvrir ces techniques et réaliser une ou plusieurs teintures.

L’interdépendance, la mondialisation, les enjeux environnementaux imposent un « vivre et faire ensemble ». Deux stratégies opposées sont alors possibles. A partir de jeux de rôles, les élèves vont appréhender les notions de compétition et de coopération. Ils débattront ensuite sur l’intérêt et l’efficacité de ces modèles afin de comprendre comment les échanges entre habitants de pays « riches » et de pays « pauvres » peuvent aussi être un facteur de développement réciproque et durable.

A partir de jeux de rôles participatifs issus de l’éducation populaire, l’objectif est de mettre les élèves en situation pour réfléchir et échanger sur l’interculturel afin d‘en
comprendre les mécanismes et de percevoir à la fois notre « unité » comme être humain, à la fois la richesse de nos différences et l’intérêt de les entretenir.