2019 sous le signe de la transmission au Burkina Faso

Le deuxième semestre 2019 fut d’une grande intensité pour Sitala du Faso. Le développement de nouveaux partenariats avec des associations italiennes, espagnoles et françaises en témoigne, la diversité des publics sensibilisés par les interventions également (mineurs incarcérés, enfants des rues, personnes en situation de handicap psychique, etc.).

Plusieurs raisons à cela :

  • Une dynamique de formation renforcée par le soutien de la Région Bretagne qui appuie l’ensemble du processus en France comme au Burkina Faso avec pour objectif de renforcer les compétences de terrain nécessaires au développement du programme Éducation par la Culture ;
  • Le soutien de Golfe du Morbihan Vannes Agglomération élargi au secteur de la solidarité et de la coopération. Ce dernier permet d’encourager le processus de professionnalisation engagé par Sitala du Faso ;
  • Le partenariat avec l’association Ficelle et compagnie qui soutient financièrement le développement des Sardines du désert (troupe de Théâtre de l’opprimé de Sitala) lui offrant de nouveaux outils de sensibilisation.

L’ensemble de ces raisons, associé au dynamisme et à l’énergie déployée par le Président Mamadou COULIBALY, a porté ses fruits : création de deux postes d’animateurs à temps plein, animations régulières au centre Sitala, mobilisation et formation de nombreux acteurs autour du Théâtre de l’opprimé, interventions dans les écoles, etc. 

En témoigne ce bilan transmis par l’équipe du Faso !

Le programme Éducation par la Culture mené par Sitala, orchestré par le Groupe Projet Sitala et salué par le Ministre de la culture comme par tous nos partenaires, a prouvé encore cette année sa pertinence et son utilité sociale. Dans ce cadre, en 2019, c’est :

  • une formation pour 50 enseignants ;
  • des lectures publiques et lectures de contes dans les écoles
  • des animations artistiques dans 10 écoles des 5 arrondissements concernés (Bindegousso, Dogona, Accreville, Saint-Vincent de Paul) auprès de 300 enfants.

Aujourd’hui, pour aller plus loin, ce sont encore les moyens qui manquent. Si les partenaires français se sont engagés, si l’association Burkinabè et ses équipes font un travail remarqué et remarquable, il devient indispensable de voir les engagements pris par les collectivités de Bobo se concrétiser.

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